Réunion TXT à Compiègne en 1981 : de gauche à droite, J. Demarcq, E. Clémens, C. Prigent, JP. Verheggen et C. Minière |
Le titre de TXT,
comme son projet, se définit par rapport à l'espace des possibles de ces années
60 : « la mode était double : il y avait, d'une part, la tendance prophétique (Chemin et Promesse véhiculaient l'idée charienne d'un futur habitable grâce à
l'effort de la littérature) ; et, d'autre part, l'ancrage terrien de
l'humanisme post-éluardien (Argile,
Traces…). C'est de cela qu'il fallait s'écarter », telle est l'analyse que
nous livre Christian Prigent une trentaine d'années plus tard dans mon premier
grand entretien avec lui (« Passage des avant-gardes à TXT », p. 218).
Et ensuite de retracer sa genèse :
« Au départ, adepte de "l'infinité
potentielle du code", Jean-Luc Steinmetz voulait appeler notre revue
"L'Infinitif". Mais cela faisait trop
philosophico-métaphysico-je-ne-sais-quoi… […] après avoir écarté le titre L'Infinitif, nous avons pensé à celui de
Texte, qui nous paraissait
exemplairement neutre (en fait, il était tout sauf neutre, car c'était le
moment où était en train de s'imposer la notion de Texte, comme je le rappelais
tout à l’heure…). Puis c’est devenu TXT.
D’abord sous l’influence de la notion d’œuvre
ouverte (Umberto Eco) : le texte n'étant pas clos, il appartient au
lecteur de lui donner sens, de le reconstituer, voire de l’inventer. A ce moment-là, Jean-Luc Steinmetz et moi-même lisions
également un remarquable roman fantastique, Le
Golem (1915) de Gustav Meyrink (il
est cité au dos du premier numéro de TXT).
Ce Golem ne prend vie que si l’on
réécrit sur son front les voyelles qui manquent à son nom : dans notre
esprit, le lecteur devait rajouter les voyelles qui manquent au tExtE
pour lui donner vie. Par ailleurs, nous lisions beaucoup Freud. Or, dans ses Essais de psychanalyse appliquée, il y a
un texte dans lequel, réfléchissant sur le fait que l'inconscient "ignore
la contradiction", il montre que l'évolution d'une même racine peut la conduire
vers des sens antagonistes. Il prend un exemple dans la langue égyptienne (une
même racine, selon qu'elle soit orthographiée avec un e ou un a
—"Ken" ou "Kan" —, revêt les significations opposées de
"fort" ou de "faible"). Nous avons rapporté ces références
au titre choisi pour la revue : on ne donnerait que la structure consonantique,
et le mouvement de la lecture et de l'interprétation constituerait le sens,
c'est-à-dire rajouterait les voyelles manquantes. Mais ce titre s'est aussi
imposé, je crois, pour deux autres raisons.
D’abord son caractère imprononçable (à une époque où nous lisions L'Ecriture et la différence, c'était
indiquer quelque chose du non que l’écriture oppose à l’illusion de la parole
vive) ; ensuite sa dimension graphique : c'était un logo avant, si j’ose
dire, la lettre (le peintre Pierre Buraglio le travaillera dans ce sens, bien
des années après) » (pp. 220-221).
Jean-Luc Steinmetz et Christian Prigent à Venterol (04) en 1969 |
Ce titre servira d'enseigne au groupe, de label —
c'est-à-dire de marque déposée, de signature, de signe distinctif, dans cet
espace oppositif qu'est le champ littéraire.
Certes,
comme le rappelle C. Prigent dans ses « Légendes de TXT » qui préfacent l'anthologie parue en 1995 chez Christian
Bourgois, les débuts sont loin d'être glorieux : « On est "d'avant-garde"
et perçus comme tels par deux journalistes, trois abonnés, quatre lecteurs en
vrai, plus dix pseudos qui cherchent à caser leurs texticoli théoritorticolés
dans nos peu de pages (40) ronéotées très cochonnées » (p. 7). Certes, même
prise en charge par Christian Bourgois, TXT n'a jamais dépassé la petite
centaine d'abonnés et quelques centaines d'exemplaires vendus. Mais, dans un
champ dominé par la production romanesque de masse, la création d'une revue au
sein du pôle de production et de circulation restreintes est le seul moyen pour
les jeunes écrivains — qui plus est s'ils sont poètes — de formuler de
nouvelles positions esthétiques et d'espérer ainsi, à long terme, assurer leur
existence, voire leur subsistance littéraire. (Car, pour les initiés, le label TXT signifiait : « plus radical, donc
plus original que Tel Quel »).
Ces
jeunes artistes qui lancent TXT (quatuor initial :
Christian Prigent, Alain Duault,
Jean-Luc Steinmetz, Jean-Pierre
Verheggen ; second quatuor : Philippe Boutibonnes, Daniel Busto, Eric
Clémens, Yves Froment) sont disposés à subvertir l’ordre en place par leur
origine sociogéographique (petite bourgeoisie intellectuelle de province) et
leur horizon intellectuel : nourris de linguistique structuraliste, de
sémanalyse kristévienne, de psychanalyse lacanienne, de grammatologie
derridienne, ou encore de matérialisme dialectique, ils revendiquent par
ailleurs des slogans avant-gardistes qui s’inscrivent dans la haine
bataillienne de la poésie, comme « La poésie : merde pour ce
mot ! » (Francis Ponge), « La poésie est inadmissible, d’ailleurs
elle n’existe pas » (Denis Roche)… Christian Prigent est à ce point marqué
par ce dernier qu’il lui consacre d’abord un article dans Action poétique (« Pour Denis Roche », n° 41-42, 1969),
puis un volume entier (Le Groin et le Menhir, Seghers,
« Poètes d’aujourd’hui », 1977), qui fait suite à un numéro spécial
de TXT
(n° 6-7 : « La Démonstration Denis Roche », 1974).
C. Prigent et JP. Verheggen au Cap Fréhel en 1971 |
Les trois étapes d'une stratégie collective
TXT,
c'est la publication de cent quarante auteurs francophones environ, c'est la
traduction d'une bonne soixantaine d'écrivains étrangers, c'est la
participation de musiciens (Pierre Boulez, Vinko Globokar, Marc Monnet, etc.),
de peintres, de photographes et de performers (Ben, Philippe Boutibonnes, Pierre
Buraglio, Mathias Pérez, Daniel Dezeuze, Jean Dubuffet, Bernard Dufour, Joël
Hubaut, Jean-Paul Thibeau, Claude Viallat, etc.). Par-delà la diversité —
d'arts, de genres ou de nationalités — émerge pourtant une étonnante unité : on
n'a guère de peine en effet à percevoir la ligne antipoétique et
anti-académique qui relie tous ceux qui
merdRent — de quelque façon que ce soit, et en particulier au moyen du
carnavalesque — et font effort de théoriser leur art.
Dans
la trajectoire de TXT, il est possible de mettre en évidence trois étapes fondamentales.
La distinction carnavalesque (1969-1972)
Voici
comment Prigent évoque les débuts de TXT : « Sur le plan littéraire,
c'était stylistiquement opaque : notre grande joie était précisément de publier
des textes que personne ou presque ne pouvait lire. Toute revue d'avant-garde
est d'ailleurs, d’une certaine façon, une machine fabriquée contre la
possibilité même de lire (puisqu’il s’agit de
redéfinir ce que l’on entend par lire)…
» (MDC, p. 224). Cet illisible est engendré, sur le plan théorique, par les
discours
linguistique, philosophique, etc. (cf. J.-L. Steinmetz, « Homologies », n° 1, et « Limite du travail sur le phonème », n° 5 ; E. Clémens sur Derrida, «Alternance et doublement», n° 5…), et, sur le plan littéraire, par l'écriture carnavalesque.
linguistique, philosophique, etc. (cf. J.-L. Steinmetz, « Homologies », n° 1, et « Limite du travail sur le phonème », n° 5 ; E. Clémens sur Derrida, «Alternance et doublement», n° 5…), et, sur le plan littéraire, par l'écriture carnavalesque.
Car,
après une « phase fan-club de Tel Quel »,
TXT
opère un « gros investissement, Rabelaisvia Bakhtine aidant, sur le
"carnavalesque", premier prêt-à-porter théorique labellisé TXT » (Prigent, « Légendes de TXT », p. 7). Et ce label, pour
l'imposer, il a fallu le différencier de la vulgate
intellectuelle, qui ignore le travail sur le signifiant, le défendre contre « l'utilisation
qui a pu être faite du signe "carnavalesque" pour cautionner diverses
pratiques dites "d'avant-garde" » : « Le brouillage commence par
réduire brutalement la "pratique carnavalesque" à une forme
"d'art populaire". La carnavalisation textuelle est alors ramenée à
la simple intégration d'une thématique "ludique" et d'un hypothétique
langage "oral", déclaré plus "authentique". Cette réduction
de la complexité des questions structurales posées par Bakhtine s'accompagne
bien entendu de vitupérations à l'égard de "la plupart des débats
idéologiques contemporains [qui] se situent à un niveau abstrait, intellectuel,
ignorant la pensée populaire" » (Prigent, « Carnaval : inflation, réaction
», n° 5, pp. 10 et 12).
Engagement et langagement
(1972-1980)
Même
lorsque le collectif TXT emboîte le
pas à Tel Quel pour s'engager dans la
lutte maoïste,
il pose que les moyens de la Révolution seront avant tout
littéraires. Encadré par deux citations de Mao Tsé Toung, l'éditorial intitulé
« Fonctions d'une revue » prend position en faveur d'un engagement spécifique :
« Pas de critique, donc de transformation, spécifique sans "autonomie
relative". […]. Sur la base de "l'autonomie relative", une revue
"de littérature" doit marquer exactement son objectif, sa fonction
propre […]. Notre pratique est et sera d'écriture
dans la lutte politique» (n° 5, pp. 1, 5 et 7).
Christian Prigent et Valère Novarina à Ostia en 1980 |
Après
deux ans d'arrêt néanmoins, pour cause de crise idéologique, TXT
s'évertue à mettre en pratique cet engagement dans la langue (langagement). Prenons deux exemples.
Dans « Long-os » de Philippe Boutibonnes (n° 6-7), si référence il y a à une
certaine réalité sociale, elle est des plus opaques, noyée qu'elle est dans un
flux burlesque qui charrie slogans recyclés et propos sexuels, dans une langue
orale faite d'inventions verbales :
« — J'suis mort-né, nié. J'avais pas d'corps, pas
d'rengaines d'sang même en fioles. Elle m'en a refilé un la pouffiasse, qui
poussait d'partout : j'y aurais bien brouté ses membranes, son évang'elle, son
con à cam à canines, son claque à os, son cribl' à prépuces, son pince
quéquettes. Travailleurs, ça ne peut plus durer. Au travail c'est la cadence
qui brise les os. Cadr'haves, tas d'truies suçotées pour blanchir les restes
passés au pinard (moi, j'creuse, l'ongle au bout d'ma pine, salut frère
nématode), on va bien finir par y passer sous l'pas cadenassé ou la chierie des
mouches, le froissement des pupes. […], Les cris m'f'ront sortir, sans yeux,
les miens pendus à la fenêtre (vert correct sans plus), sans poids au bid,
propret dans mon pantalon de golf, écartant les mottes, j'y entrerai dans la révolution
(La bourgeoisie produit ses propres
fossoyeurs), la femme pataugeant dans cett'liqueur dont j'entendais
l'clapotis dans l'cercueil près d'os chers ».
Quant au Babil des classes dangereuses (n° 8) de Novarina, il substitue à la
lutte des classes la lutte des langues, la lutte de la langue poétique contre
les langues mécaniques — opposant l'économie de la langue à la langue comme
instrument de domination sociale et économique
La résistance à la restauration littéraire
(1981-1993)
Au
tout début de la nouvelle décennie, où, suite à la crise idéologique des
avant-gardes, on commence à parler de « postmodernité », le dernier numéro
publié par Bourgois esquisse un court bilan mais surtout une nouvelle ligne de
front :
« On nous dit : la modernité est une vieille lune.
Eh bien, tant pis. Nous continuerons à aimer l'appel d'air que provoque cette
notion […].
Sans doute un certain impact de la littérature
telquelienne, dont on a tant critiqué le théoricisme, a-t-il été fonction du
contexte dans lequel les textes apparaissaient : la sémiotique, la psychanalyse
lacanienne, le structuralisme. C'était le temps du
"comment-ça-fonctionne", du meccano greimasien, de la glose
derridienne ; et il y avait pour impulser et accueillir ça un public universitaire
issu de l'enthousiasme épistémologique des années 65-75. Sans doute. Mais il
n'y a pas à regretter ce temps […].
Pourquoi se désoler de cette crise idéologique (ce
n'est rien d'autre) de l'avant-gardisme ? Nous n'avons besoin de personne pour
approfondir notre mise en travail de la langue et ouvrir, élargir notre
réflexion sur l'imaginaire de l'époque » (éditorial du n° 13, « Il faut une
grande technique au-delà de la mode », pp. 3 et 6).
TXT à Bruxelles en 1986 : Boutibonnes, Clémens, Le Pillouër, Prigent, Frontier et Verheggen. |
En
1993, la démission de Christian Prigent met fin à une aventure qui s’est
déroulée sur près d’un quart de siècle : le temps est venu, pour lui comme
pour ses compagnons, de s’investir davantage dans l’œuvre – ce qui n’empêchera
nullement l’intégration de l’ancien directeur de TXT dans le comité de Fusées
(1995-2010).
NB : Pour une étude plus complète : cf. mon Champ littéraire français au XXe siècle,
Armand Colin, 2002, p. 104-112.
TXT |
· La
revue :
1969 : TXT, n°1, 40 p., TXT éditeur.
1970 : TXT, n° 2, 50 p., TXT éditeur.
1970 : TXT, n° 2bis, 52 p., TXT éditeur.
1971 : TXT, n° 3-4, « Ponge aujourd'hui », 88
p., TXT éditeur.
1972 : TXT, n° 5, « Fonctions d'une revue »,
110 p., TXT éditeur.
1974 : TXT,
n° 6-7, « La Démonstration Denis Roche », 140 p., TXT éditeur.
1975 : TXT, n° 8, « Babil des classes
dangereuses », 132 p., TXT éditeur.
1977 : TXT,
n° 9, « Aux colères errantes », 114 p., Christian Bourgois éditeur.
1978 : TXT, n° 10, « L'Ecrit, le Caca »,
112p., Christian Bourgois éditeur.
1979 : TXT,
n° 11, « Le Poids de la langue », 152 p., Christian Bourgois éditeur.
1980 : TXT, n° 12, « L'Acteur ? », 168 p.,
Christian Bourgois éditeur.
1981 : TXT, n° 13, « Au-delà du principe
d'avant-garde », 78 p., Christian Bourgois
|
éditeur.
1982 : TXT,
n° 14, « La Poésie c'est à dire l'écriture », 110 p., Limage-2 éditeur.
1983 : TXT, n°
15, « Intraduction aux étrangers »,
112 p., Limage-2 éditeur
1983 : TXT,
n° 16, « La Fiction délie les langues », 112 p., Limage-2 éditeur.
1984 : TXT, n° 17, « Critiques, encore un
effort ! », 96 p., Lebeer-Hossmann éditeur.
1985 : TXT, n° 18, « A fond la fiction ! »,
58 p., Lebeer-Hossmann éditeur.
1985 : TXT,
n° 19, « Babel U.S.A. », 70 p., Lebeer-Hossmann éditeur.
1986 : TXT, n°
20, « La Peinture fait écrire », 74 p., Lebeer-Hossmann éditeur.
1987 : TXT,
n° 21, « La Dégelée-Rabelais », 64 p., Lebeer-Hossmann éditeur.
1988 : TXT,
n° 22, « Le Chanteur en charabia », 92 p., Lebeer-Hossmann éditeur.
1988 : TXT, n° 23, « Travaux en corps », 60
p., Lebeer-Hossmann éditeur.
|
1989 : TXT,
n° 24, « D.D.R Lyrik 1989 », 88 p., Lebeer-Hossmann éditeur.
1990 : TXT,
n° 25, « Black orature », 78 p., Lebeer-Hossmann éditeur.
1991 : TXT, n° 26-27, « Voilà les textes »,
110 p., Lebeer-Hossmann éditeur.
|
1991 : TXT, n° 28, « Artaud interdit, Artaud
inédit », 102 p., Lebeer-Hossmann éditeur.
1992 : TXT, n° 29-30, « Côté corps, côté
jargons », 148 p., Lebeer-Hossmann éditeur.
|
1993 : TXT,
n° 31, « Languelais, Fatrasies & Lotharingites », 88 p., TXT éditeur.
|
· Hors-série
:
1972 : TXT, « Informations », n° 1,
supplément au n° 5, avril 1972, brochure, 8 p.
1980 : « Prenez
TXT, votre avenir est entre vos
mains », brochure, 12 p. (supplément à TXT,
n° 12), Christian Bourgois éditeur.
1984 :
« TXT-Vidéographie »,
textes et photographies, 86 p., Lebeer-Hossmann éd.
1989 :
« TXT vingt ans »,
textes, photographies, dessins et peintures, 71 pages, éditions du Centre
d’art contemporain de la Communauté française de Belgique.
· La collection :
Chez Christian Bourgois
Vélimir
Khlebnikov, La Création verbale
(textes traduits du russe par Catherine Prigent), 1980.
Philippe
Muray, L’Opium des Lettres, préface
de Philippe Sollers, 1979.
Aux éditions Cheval d’Attaque
Christian
Prigent, Peep-Show, 1984.
Jean-Pierre
Verheggen, Pubères putains, 1985.
Aux éditions TXT
Eric
Clémens, De r’tour, 1987.
Alain
Frontier, Portrait d’une Dame,
1988.
Pierre
Le Pillouër, Pancrailles, 1992.
Claude
Minière, Difficulté passagère,
1988.
Valère
Novarina, Le Babil des classes
dangereuses, 1978.
Valère
Novarina, La Lutte des Morts, 1979.
Oskar
Pastior, Poèmepoèmes (traduits de
l’allemand par Alain Jadot, préface de Christian Prigent), 1990.
Christian
Prigent, Power/Powder, 1977.
Christian
Prigent, Œuf-Glotte, 1979.
Jean-Pierre
Verheggen, Le Degré Zorro de l’écriture,
1978.
Jean-Pierre
Verheggen, Divan le terrible, 1979.
Aux éditions Limage-2
Eric
Clémens, Opéra des Xris, 1984.
Jean-Pierre
Verheggen, NiNietzsche peau d'Chien,
1983.
|
· Anthologie :
TXT : 1969/1993, Christian Bourgois éditeur,
1995.
|
·
Christian Prigent et TXT sur le
web :
* Tout sur TXT :
sur le site du Terrier.net, on
lira la présentation de François Lecire et on accédera aux numéros.
*
Entretiens avec Christian Prigent :
-
« Passage des avant-gardes à TXT » (Fabrice Thumerel),
dans Francis Marcoin et F. Thumerel dir., Manières
de critiquer, Artois Presses Université, 2001, p. 218 ; repris en
2014 dans SILO, sous le portail de
P.O.L.
- « TXT et l’héritage surréaliste » (Bénédicte Gorrillot), 2006.
- « TXT, bilans » (Nathalie Quintane), 2008.
- « De TXT à Fusées »
(F. Thumerel), 2008.
- « D’une époque l’autre : TXT dans le temps »
(Bénédicte Gorrillot), 2009.
|
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